Mais quand commence le vieillissement ?
Probablement dès 25 ans pour la majorité des êtres humains, 25 ans étant notre summum !
Nous sommes probablement la première génération de l'humanité à pouvoir prendre en charge efficacement notre vieillissement et à agir réellement sur ses composantes, tant physiques (par notre apparence externe et le fonctionnement interne de nos organes) que mentales et psychiques : la médecine anti-âge est là pour ça.
Face à l'allongement de la durée de vie (on gagne 1 an tous les 4 ans) avec l'aide des progrès fantastiques de la médecine et des connaissances scientifiques, il devient nécessaire et indispensable de coordonner les actions possibles sur le vieillissement.
Ce qui compte, en définitive c'est la qualité de ces années de vie gagnées.
Si l'hygiène de vie nous a fait gagner 10 ans et les antibiotiques environ 10 ans aussi, l'hormonothérapie et la nutrithérapie peuvent nous donner encore une dizaine d'années à elles seules.
La prochaine révolution sera la thérapie génique.
Si la médecine esthétique a beaucoup fait avancer la qualité de notre apparence extérieure, il nous est possible d'accroître notre bien être en jouant sur nos équilibres internes. Nous y gagnerons pour nous mêmes, notre environnement familial et notre qualité de travail.
La médecine anti-âge est au centre des préoccupations de la médecine car elle permet de détecter nos désordres à leur début, alors que la médecine traditionnelle traite les pathologies quand elles sont installées.
Quand nos carences n'ont pas encore de traduction clinique, elles ont par contre déjà un impact sur notre métabolisme et une trace humorale qui peut être repérée. C'est à ce signal biologique perceptible que la médecine anti-âge doit s'intéresser.
Nous devons nous traiter le plus tôt possible pour conserver le maximum de nos facultés.
Nous devons être attentif à nous-même et corriger nos désordres internes car le vieillissement est un processus complexe et multifactoriel.
Nous devons être acteur de notre santé au sens plein du terme.